
Rachida Dati DÉCLENCHE la GUERRE aux Juges — Le Pen l’APPUIE ?!
Dans une escalade sans précédent, Rachida Dati, ministre de la Culture, s’attaque frontalement à la justice française, provoquant une onde de choc au sein de l’Élysée. Renvoie en correctionnel pour corruption et trafic d’influence dans l’affaire Carlos Ghosn, Dati n’hésite pas à désigner les magistrats comme des ennemis politiques. Sur LCI, elle a exprimé sa détermination : “Je suis combative, je ne me laisserai pas éliminer.” Ses paroles résonnent comme un défi à l’autorité judiciaire.
Les révélations de fuites à Ber suggèrent une tension palpable au sommet de l’État. Dati, dans une manœuvre audacieuse, semble emprunter la stratégie de Marine Le Pen, en minimisant les accusations portées contre elle. “Pas un centime d’enrichissement personnel”, clame-t-elle, tandis que les juges dénoncent des conflits d’intérêts flagrants liés à ses missions de consulting pour Nissan Renault. La question qui se pose maintenant est brûlante : jusqu’où ira Dati pour préserver sa position ?
Le soutien de l’Élysée à Dati soulève des interrogations. Pourquoi bénéficie-t-elle d’une protection alors que d’autres, comme François Fillon, ont été écartés pour des affaires similaires ? Un magistrat anonyme dénonce l’instrumentalisation de la justice par le pouvoir, alors que Marine Le Pen, condamnée à cinq ans d’inéligibilité, voit dans cette affaire une validation de sa thèse selon laquelle la justice est un outil de l’establishment.
La ligne entre justice et politique s’efface, et la situation devient explosive. Dati pourrait transformer son procès en tribune, mettant en péril l’État de droit. La France est à un tournant critique. La tension monte, et les conséquences de cette guerre déclarée entre Dati et les juges pourraient avoir des répercussions durables sur les institutions. Une chose est certaine : l’issue de cette bataille pourrait redéfinir les rapports entre pouvoir et justice en France.
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