**IL Y A 1 MIN – Trump EXIGE de l’acier, Carney CLAQUE la porte – Detroit S’EFFONDRE en une nuit**

Dans un tournant dramatique du paysage économique américain, Detroit, la capitale de l’industrie automobile, s’effondre sous le poids d’une crise sans précédent. General Motors a annoncé une perte colossale de 1,1 milliard de dollars pour le deuxième trimestre, provoquée par une flambée des coûts des matières premières, notamment de l’acier et de l’aluminium. Ce choc économique, qui pourrait marquer le début d’une tempête parfaite, menace non seulement les géants de l’automobile, mais aussi des milliers d’emplois et des familles déjà en difficulté.

Les droits de douane, réinstaurés par Donald Trump, exacerbent cette situation, rendant la production automobile non seulement coûteuse mais également imprévisible. Chaque véhicule fabriqué aux États-Unis intègre désormais une augmentation de 2 000 à 4 700 dollars dans son coût de production. Les petites entreprises, les fournisseurs et même les consommateurs sont pris au piège dans un cycle vicieux de hausses de prix et d’incertitude.

Marc Carney, le Premier ministre canadien, a claqué la porte des négociations, dénonçant ces politiques protectionnistes qui mettent en péril les chaînes d’approvisionnement nord-américaines. Alors que le Canada cherche à se réindustrialiser et à diversifier ses marchés, les États-Unis semblent piégés dans un jeu de pouvoir personnel, où les décisions économiques sont dictées par des intérêts politiques plutôt que par des considérations rationnelles.

Les conséquences sont déjà palpables : les concessionnaires augmentent leurs prix, les travailleurs redoutent des licenciements imminents, et les familles voient leur pouvoir d’achat s’éroder. À chaque annonce de droits de douane, l’ombre du chômage s’étend, rappelant les jours sombres de la désindustrialisation. Detroit, symbole de la puissance économique américaine, est à la croisée des chemins, et l’avenir de son industrie automobile est plus incertain que jamais.