L’après-mort de Thierry Ardisson : la guerre de l’héritage a déjà commencé

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L’après-mort de Thierry Ardisson : la guerre de l’héritage a déjà commencé

À peine enterré, Thierry Ardisson, décédé le 14 juillet 2025, déclenche déjà une bataille acharnée pour son héritage. Alors que les hommages pleuvent et que les célébrités se rassemblent à l’église Saint-Roque, un chaos discret mais bien palpable s’installe en coulisses. Les sourires de façade cachent des tensions insupportables entre les héritiers, prêts à tout pour revendiquer leur part du trésor laissé par l’homme en noir.

Le testament d’Ardisson, loin d’être un document clair, s’avère être une source de discorde. Des lettres ont été rédigées, des volontés exprimées, mais des décisions cruciales auraient été prises oralement, sans aucune trace écrite. Audrey Crespomara, figure emblématique de son entourage, réclame la gestion de l’héritage médiatique, tandis que les enfants contestent le droit à l’image et l’utilisation de l’héritage. Un héritier indirect, quant à lui, a déjà engagé un avocat pour contester des clauses tardives.

La maison familiale en Provence, un sanctuaire pour certains, est perçue par d’autres comme un actif de plusieurs millions à vendre. Les discussions, initialement cordiales, tournent à l’orage, et les silences deviennent lourds de sens. Une source proche résume la situation : “Thierry aurait détesté ce qui est en train de se passer.”

Les funérailles, marquées par l’élégance noire, cachent une guerre des volontés sans précédent. Les tensions montent, les regards se croisent avec méfiance, et la douleur se mêle à la trahison. Ce qui aurait dû être un hommage à un géant de la télévision se transforme en une intrigue digne d’un drame télévisé. La succession d’Ardisson, au lieu d’être une célébration de sa vie, se profile comme un véritable champ de bataille. La guerre de l’héritage a commencé, et elle promet d’être aussi tumultueuse que la carrière de l’homme lui-même.