Philippe Tanguy a frappé fort lors d’un entretien en direct avec Apolline de Malherbe, dévoilant les coulisses des relations tendues entre la France et l’Algérie. En pleine crise diplomatique, il a dénoncé l’inaction de l’État français face aux provocations algériennes, appelant à des mesures de rétorsion immédiates. “Nous ne pouvons pas accepter d’être humiliés”, a-t-il martelé, exigeant la suspension de l’aide financière et des visas pour les ressortissants algériens.

Les tensions montent alors que l’Algérie refuse de reprendre ses ressortissants expulsés, et Tanguy ne mâche pas ses mots : “Le régime algérien est faible, il dépend de l’argent que nous lui versons.” Il a souligné que la France dispose des leviers nécessaires pour agir, notamment en suspendant les transferts d’argent des immigrés algériens vers leur pays. “Nous sommes souverains”, a-t-il insisté, appelant à une réaction ferme et immédiate.

Cette déclaration survient dans un contexte où la France doit se repositionner sur la scène internationale. Les critiques fusent contre la gestion actuelle des relations bilatérales, et Tanguy appelle à un changement radical de cap. “Il est temps de se faire respecter”, a-t-il conclu, relançant un débat brûlant sur la politique étrangère de la France envers l’Algérie.

Les citoyens sont en émoi, appelant à une action décisive pour restaurer la dignité nationale. Philippe Tanguy a su, une nouvelle fois, mettre en lumière les enjeux cruciaux de cette relation complexe. Reste à savoir si le gouvernement entendra cet appel à la fermeté.