**Macron abandonne ArcelorMittal ! Il faut nationaliser !**
Une crise majeure se profile pour l’industrie française : le Premier ministre a été interpellé aujourd’hui sur la situation alarmante d’ArcelorMittal, alors que plus de 600 emplois sont menacés de suppression. Les salariés, mobilisés en masse, expriment leur colère face à l’inaction du gouvernement, alors que la nécessité de décarboner la production d’acier devient urgente.
« Monsieur le Premier ministre, allez-vous abandonner les salariés d’ArcelorMittal ? » a questionné un représentant des travailleurs, mettant en lumière l’incapacité de l’entreprise à investir dans une transition écologique, malgré les 12 milliards d’euros versés aux actionnaires ces dernières années. La décarbonation doit être achevée avant 2030, mais le temps presse : l’avenir de la production d’acier en France est en jeu, et avec lui, plus de 60 000 emplois.
Les discours vides du gouvernement n’apaisent pas la colère des employés. Ils exigent des actions concrètes, pas des promesses. « Si Mital veut partir, qu’il s’en aille. Les salariés peuvent faire sans lui », a déclaré un intervenant, appelant à la nationalisation de l’entreprise pour garantir la pérennité de l’acier français.
Le Royaume-Uni et d’autres pays ont pris des mesures pour protéger leur industrie. Pourquoi la France resterait-elle passive ? Les travailleurs d’ArcelorMittal ne veulent plus de mots creux ; ils veulent des actes. Le temps de l’attentisme est révolu. La balle est dans le camp du gouvernement : nationaliser ArcelorMittal ou voir disparaître une filière cruciale pour l’économie française. La pression monte, et les salariés n’attendront pas.