**Titre : On lui a dit qu’elle était trop grosse pour être aimée mais elle épousa un riche beau**
Dans une révélation surprenante qui défie les stéréotypes, Taï Carla, danseuse brésilienne emblématique, a récemment annoncé ses fiançailles avec Israël Reace, un homme d’affaires à la stature physique opposée à la sienne. Cette annonce, faite sur les réseaux sociaux, a suscité une onde de choc dans un pays encore en proie à la grossophobie. “J’ai passé toute ma vie à croire que je ne pouvais pas être aimée à cause de ma morphologie”, a-t-elle déclaré, énonçant un message puissant d’acceptation de soi.
Née le 15 octobre 1991, Taï Carla a surmonté de nombreux défis liés à son poids, devenant une figure de proue du mouvement body positive au Brésil. Sa carrière a décollé lorsqu’elle a rejoint la célèbre chanteuse Anita, ce qui lui a permis de briser les barrières dans un monde du spectacle souvent excluant. Sa visibilité a explosé, faisant d’elle une icône de la lutte contre la discrimination corporelle.
Malgré les critiques incessantes et les rumeurs malveillantes, Taï et Israël incarnent une relation authentique et aimante. Les détracteurs insinuent que leur amour est superficiel, mais Taï a fermement démenti ces allégations, affirmant : “Nous nous aimons profondément, et notre histoire ne se résume pas à des apparences.” Leur complicité est palpable, et ils partagent régulièrement des moments de tendresse sur les réseaux sociaux.
En 2021, la naissance de leur deuxième fille, Eva, a été un autre moment fort de leur vie familiale, défiant les préjugés sur la maternité chez les femmes obèses. Taï Carla continue de militer pour l’acceptation de soi, prouvant que la beauté et l’amour transcendent les normes physiques. “Je suis une femme obèse, mère, danseuse professionnelle et très aimée”, a-t-elle déclaré, réaffirmant son message de force et de résilience.
Alors que Taï Carla s’impose comme une voix puissante pour l’inclusivité, son histoire est un appel à la célébration de la diversité corporelle et à la liberté d’aimer sans limites. En 2025, elle est promise à devenir une figure emblématique du mouvement pour l’acceptation des corps, inspirant des millions à travers le monde.
