**C’EST L’ENFER alors que Trump ENVAHIT les fermes de Californie**
Une opération militaire sans précédent a plongé le cœur agricole de la Californie dans le chaos. Des milliers de soldats fédéraux, armés jusqu’aux dents, ont envahi des fermes, transformant des terres fertiles en zones de conflit. Des tracteurs de combat, des hélicoptères survolant des champs de fraises et des soldats patrouillant parmi des travailleurs innocents ont créé un climat de terreur inouï. Les communautés agricoles, jadis paisibles, sont désormais encerclées par des forces de l’immigration, dans une opération qualifiée d’« exécution de la loi », mais qui ressemble davantage à une chasse à l’homme.
Tout a commencé à Hoxnard, où les agents ont tenté d’envahir Boskovic Farms. Les propriétaires ont opposé une résistance pacifique, mais le gouvernement a intensifié la répression. Des hélicoptères ont commencé à survoler les plantations, semant la panique parmi les travailleurs. Des familles se cachent, des enfants fuient, et le simple fait de cultiver des légumes est devenu un acte de rébellion. Les témoignages affluent : des voisins menottés dans leur jardin, des enfants témoins d’arrestations brutales, des citoyens ordinaires pris dans la tourmente d’une opération militaire.
Les autorités locales, impuissantes, appellent à la prudence. « Restez chez vous, n’ouvrez pas vos portes », avertissent-elles. Les scènes de désespoir se multiplient, les gens abandonnent leurs récoltes, et la peur s’installe. Les communautés se mobilisent, des manifestants tentent de bloquer les convois militaires, mais la répression est implacable. Des grenades assourdissantes sont lancées sur des foules désarmées, blessant même des enfants.
Ce qui se déroule en Californie n’est pas qu’une simple opération d’immigration ; c’est un affront à la dignité humaine. Les fermes, autrefois symboles de prospérité et de travail acharné, sont devenues des scènes de désespoir. Les États-Unis, qui se sont longtemps présentés comme un refuge, montrent leur visage le plus sombre. La question reste : jusqu’où cette escalade de la violence et de la peur peut-elle aller ? Les Californiens demandent des comptes, mais le silence du gouvernement est assourdissant. L’heure est grave, et l’avenir incertain.