**Dernière minute : Le Canada BLOQUE le gaz aux USA — Trump en RAGE, livraisons vers Chine et Japon**
Dans un tournant spectaculaire, le Canada a décidé de couper les ponts avec son voisin américain en bloquant l’exportation de gaz naturel vers les États-Unis, une décision qui a immédiatement déclenché la colère de Donald Trump. Ce coup de tonnerre économique survient alors que le Canada se tourne résolument vers l’Asie, avec des livraisons déjà en route vers des géants comme la Chine et le Japon.
Le 30 juin 2025, un navire chargé de gaz naturel liquéfié a quitté le port de Kitimat, marquant une première historique : le gaz canadien voyage désormais vers l’Asie sans passer par les États-Unis. Cette manœuvre audacieuse ne se limite pas à un simple changement de route ; elle représente une rupture avec des décennies de dépendance économique. Les Canadiens, longtemps perçus comme des fournisseurs de commodités, se redéfinissent désormais comme des acteurs majeurs sur l’échiquier énergétique mondial.
L’annonce de Trump, qui a imposé une taxe de 35 % sur tous les produits canadiens, a agi comme un catalyseur, poussant Ottawa à agir. Le projet LNG Canada, évalué à 40 milliards de dollars, n’est pas seulement un terminal, mais un symbole de souveraineté et de résilience face à l’incertitude économique. Ce développement stratégique répond à une demande croissante d’énergie propre en Asie, où le Japon et la Corée du Sud intensifient leurs efforts pour diversifier leurs sources d’approvisionnement.
Cependant, cette nouvelle dynamique soulève des questions cruciales. Le Canada, en s’affranchissant de l’influence américaine, réussira-t-il à maintenir sa réputation de fournisseur fiable tout en naviguant dans un monde de tensions géopolitiques croissantes ? Les contrats signés avec les entreprises asiatiques sont-ils suffisamment solides pour assurer une stabilité à long terme ?
Alors que le Canada se lance dans cette aventure audacieuse, l’écho de cette décision résonne non seulement à Washington, mais dans le monde entier. Les enjeux sont énormes, et chaque cargaison qui quitte le port de Kitimat porte avec elle l’espoir d’un avenir énergétique autonome pour le Canada, mais aussi le poids d’une responsabilité immense face aux incertitudes qui l’entourent.