CHARLOTTE D’ORNELLAS pulvérise GABRIEL ATTAL sur sa NOMINATION

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**CHARLOTTE D’ORNELLAS pulvérise GABRIEL ATTAL sur sa NOMINATION**

Dans une intervention explosive, Charlotte d’Ornellas a vigoureusement critiqué la nomination de Gabriel Attal au poste de Premier ministre, soulignant l’absurdité d’un “plan zéro délinquance” pour les Jeux Olympiques alors qu’une réelle lutte contre la délinquance est plus que jamais nécessaire. Alors que la France fait face à une baisse alarmante des performances scolaires, d’Ornellas a mis en lumière le bilan mitigé d’Attal à l’Éducation nationale, où il n’a passé que six mois avant de chambouler un système déjà en crise.

Les résultats de l’étude PISA 2022 révèlent une chute sans précédent des compétences des élèves français. D’Ornellas a dénoncé les tabous que le nouveau Premier ministre, autrefois membre d’un parti qui les défendait, semble désormais vouloir briser. Le débat sur le collège unique, les redoublements et l’immigration s’intensifie, et l’opinion publique est de plus en plus sceptique quant à la capacité d’Attal à gérer ces enjeux cruciaux.

Les inquiétudes ne s’arrêtent pas là. À l’approche des JO de Paris, la mobilisation policière pour assurer la sécurité des événements soulève des questions majeures sur la sécurité des citoyens. Les forces de l’ordre, déjà sous pression, craignent que leur saturation pendant les JO n’engendre une vulnérabilité accrue face à d’autres menaces. Un haut gradé a même averti : “S’il y a un attentat à Strasbourg, le premier policier disponible risque d’être allemand.”

Les syndicats de police s’inquiètent des conditions de travail et des promesses non tenues, alors que la pression monte sur le gouvernement. D’Ornellas a clairement exprimé son scepticisme : “Comment peut-on passer d’un ministère à l’autre en six mois sans que la continuité des politiques publiques ne soit une priorité ?” L’avenir de la sécurité et de l’éducation en France est en jeu, et les attentes sont élevées. Le temps presse, et les yeux sont rivés sur Gabriel Attal.

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