**MARION DÉTRUIT APOLLINE SUR L’ASSASSINAT DE LA SURVEILLANTE : UN DRAME INACCEPTABLE !**

Le 10 juin 2025, un acte de violence insensée a secoué la France : Mélanie G., une surveillante de 31 ans, a été poignardée à mort par un élève de 14 ans devant le collège Françoise Dolto à Nogan. Alors qu’un contrôle de sécurité était en cours, le jeune agresseur, armé d’un couteau de cuisine de 34 cm, a porté 11 coups à la surveillante, blessant également un gendarme intervenu sur les lieux. Ce drame soulève des questions brûlantes sur la sécurité dans les établissements scolaires et la responsabilité des autorités.

Marian Maréchal, dans une analyse cinglante, dénonce l’inefficacité des mesures proposées par le gouvernement. L’interdiction de la vente de couteaux aux mineurs, déjà en vigueur, est mise en lumière comme une réponse vide. « C’est la personne derrière le couteau qui est coupable, pas l’outil lui-même », déclare-t-elle, appelant à une réflexion plus profonde sur la délinquance juvénile et la faillite du système judiciaire.

Le procureur de Dijon a ouvert une enquête pour meurtre, et le mineur a été placé en détention provisoire. Ce cas tragique met en exergue une réalité alarmante : près de 80 000 personnes sortent de prison chaque année, dont 59 % retournent derrière les barreaux. Une situation qui interpelle sur l’efficacité des politiques pénales en France.

Les débats s’intensifient autour de la nécessité d’une réforme radicale du système judiciaire. Les portiques de sécurité et les interdictions de réseaux sociaux ne suffisent pas à endiguer la violence croissante. « Nous avons besoin d’une véritable politique de réhabilitation et de prévention », conclut Maréchal, appelant à une prise de conscience collective.

Ce drame tragique est un cri d’alarme. La France doit agir maintenant pour protéger ses enfants et restaurer la sécurité dans ses écoles. Les mots ne suffisent plus ; des actions concrètes sont indispensables pour éviter que de tels actes ne se reproduisent.