Pourquoi aucune sanction contre Israël alors que son gouvernement commet des crimes de guerre ?

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**Pourquoi aucune sanction contre Israël alors que son gouvernement commet des crimes de guerre ?**

Dans un contexte international de plus en plus tendu, la question des sanctions contre Israël se pose avec une urgence alarmante. Alors que la Russie a subi 17 trains de sanctions après son agression contre l’Ukraine, le silence assourdissant de la communauté internationale face aux violations israéliennes du droit international est inacceptable. Plus de 55 000 vies ont été perdues à Gaza, et pourtant, aucune mesure punitive n’a été mise en place contre le gouvernement de Benjamin Netanyahou.

Les appels à un embargo sur les armes se multiplient. Malgré les dénégations officielles, des enquêtes révèlent que des armes françaises continuent d’être livrées à Israël, alimentant ainsi un conflit qui pourrait être qualifié de génocide. La Cour internationale de justice a déjà affirmé, il y a plus d’un an, qu’il existait un risque de génocide à Gaza, et la France, en tant que signataire d’une convention internationale, a une obligation légale de prévenir ce risque. Pourtant, l’inaction persiste.

Les voix s’élèvent pour rompre l’accord de coopération économique entre l’Union européenne et Israël et pour reconnaître l’État de Palestine. Avec 75 % des pays dans le monde soutenant cette reconnaissance, il est temps que la France agisse. Le président de la République doit passer des paroles aux actes. Le blocus humanitaire à Gaza est une honte, et briser ce blocus est un devoir moral. Les arrestations illégales des militants tentant d’apporter de l’aide doivent être condamnées fermement.

Le monde regarde. Il est impératif que la France et la communauté internationale prennent position et agissent rapidement pour mettre fin à cette tragédie. La situation à Gaza exige une réponse immédiate et décisive. Les sanctions doivent être mises en œuvre, et la reconnaissance de l’État de Palestine doit devenir une réalité. L’heure de l’action est maintenant.