JORDAN BARDELLA pulvérise un CHRONIQUEUR anti-RN sur le HAMAS
Dans une intervention explosive, Jordan Bardella, président du Rassemblement national, a vigoureusement riposté à un chroniqueur qui contestait les actions israéliennes en Gaza, pointant du doigt le Hamas comme le principal responsable du drame humanitaire en cours. Lors d’un débat enflammé, Bardella a affirmé que le mouvement islamiste utilise des civils comme boucliers humains, orchestrant une guerre asymétrique qui met en péril des vies innocentes.
« La guerre est un drame », a-t-il déclaré, tout en insistant sur le fait que le Hamas est à l’origine des roquettes qui tombent sur Gaza. Il a dénoncé la rhétorique de certains responsables politiques, comme Jean-Luc Mélenchon, qui minimisent la nature terroriste du Hamas. Bardella a appelé à une réponse israélienne ciblée pour protéger les civils, tout en s’opposant fermement à l’idée d’un cessez-le-feu qui profiterait uniquement au Hamas.
Les chiffres sont alarmants : plus de 10 000 morts, dont des milliers d’enfants, ont été rapportés depuis le début des bombardements israéliens. Bardella a souligné l’urgence d’une pause humanitaire pour soulager la souffrance des civils, tout en avertissant que toute faiblesse face au Hamas pourrait aggraver la situation.
Les tensions montent également en France, où Bardella a mis en garde contre l’importation de l’idéologie du Hamas sur le sol français. « Les Juifs de France vivent dans la peur », a-t-il averti, appelant à une prise de conscience collective face à la menace grandissante du terrorisme islamiste. Dans un contexte de polarisation extrême, cette déclaration de Bardella pourrait marquer un tournant dans le débat public sur la sécurité et l’immigration.
La situation reste volatile, et les répercussions de ces déclarations pourraient avoir des conséquences profondes sur le paysage politique français. Alors que le conflit israélo-palestinien continue de faire des ravages, la voix de Bardella résonne comme un appel à l’action face à une crise humanitaire qui ne montre aucun signe d’apaisement.