**Macron abandonne ArcelorMittal ! Il faut nationaliser !**

Dans une tournure dramatique, le Premier ministre français est sous pression alors que les salariés d’ArcelorMittal se mobilisent contre la suppression imminente de plus de 600 emplois. Ce matin, des travailleurs se sont rassemblés pour exprimer leur colère face à la gestion du géant de l’acier, qui refuse d’investir dans la décarbonation de la production, malgré des bénéfices colossaux de 12 milliards d’euros versés aux actionnaires ces dernières années.

« Si Mital veut partir, qu’il s’en aille ! » s’est exclamé un représentant des travailleurs, soulignant que la survie de l’industrie sidérurgique en France est en jeu. Les salariés ne se contentent plus de promesses vides : ils exigent des actions concrètes, notamment la nationalisation d’ArcelorMittal pour garantir la production d’acier sur le sol français.

L’alerte est lancée : sans intervention rapide, c’est toute une filière qui pourrait disparaître, menaçant plus de 60 000 emplois. Les travailleurs, soutenus par des élus, demandent des réponses claires sur la stratégie à long terme de l’État pour l’industrie. Les exemples de pays comme le Royaume-Uni et l’Italie montrent qu’il est possible de sauver des sites stratégiques.

« Les promesses n’ont plus de valeur, nous voulons des actes ! » a déclaré un employé, tandis que la tension monte et que le temps presse. Le Premier ministre doit maintenant faire face à un dilemme crucial : nationaliser ArcelorMittal pour protéger l’avenir de l’acier en France ou risquer de devenir le fossoyeur d’une industrie vitale.

Les regards sont braqués sur le gouvernement. La mobilisation des salariés d’ArcelorMittal est un cri d’alarme. La question demeure : Macron agira-t-il avant qu’il ne soit trop tard ?