**Trump et Netanyahou : l’avenir de Gaza… sans les Palestiniens**
Cette nuit à Washington, une rencontre cruciale s’est tenue entre Donald Trump et Benjamin Netanyahou, marquant leur troisième entrevue en moins de six mois et la première depuis la guerre de 12 jours entre Israël et le Hamas. Alors que les négociations pour un cessez-le-feu piétinent, les tensions à Gaza ne cessent d’escalader. Cette réunion intervient dans un contexte où les États-Unis offrent pour la première fois une aide directe à Israël dans ce conflit.
Les discussions entre les deux leaders ont tourné autour de trois questions majeures : le cessez-le-feu à Gaza, la menace iranienne, et la normalisation des relations entre Israël et les pays arabes, notamment l’Arabie Saoudite. Alors que des tentatives de négociation indirecte se poursuivent à Doha, l’urgence de la situation à Gaza reste alarmante. Netanyahou, sous pression de son gouvernement d’extrême droite, a récemment violé un cessez-le-feu, intensifiant les frappes israéliennes.
Les conditions de vie des Palestiniens s’aggravent, avec des bombardements incessants et des restrictions sur l’aide humanitaire. Les accords d’Abraham, qui visaient à normaliser les relations entre Israël et plusieurs pays arabes, semblent désormais relégués au second plan, alors que la question palestinienne demeure non résolue.
Les discussions sur un éventuel échange d’otages israéliens contre des prisonniers palestiniens s’intensifient, mais les conditions posées par le Hamas sont jugées inacceptables par Israël. Pendant ce temps, la population de Gaza endure des souffrances inimaginables, alors que les puissances occidentales, y compris les États-Unis, semblent privilégier des intérêts géopolitiques au détriment des droits humains.
Alors que le monde observe, la situation à Gaza devient de plus en plus critique. Les décisions prises à Washington pourraient bien sceller le sort de millions de Palestiniens, relégués à l’arrière-plan d’un conflit dont ils sont pourtant les premières victimes. Le temps presse, et l’urgence d’une intervention humanitaire devient de plus en plus pressante.