Un citoyen a récemment mis en lumière les graves dysfonctionnements du système judiciaire français lors d’un débat animé, dénonçant l’inaction du gouvernement face à l’insécurité croissante dans le pays. En évoquant les 900 millions d’euros de dégâts causés par les émeutes de Naël, il a frappé fort, affirmant que les Français ne peuvent plus se permettre d’ignorer la réalité alarmante de la violence et de la délinquance.
Les chiffres sont accablants : en 2024, près de 228 000 peines non exécutées sont enregistrées, dont seulement 62 % ont été appliquées dans l’année. Les agressions contre les forces de l’ordre ont augmenté, avec près de 10 000 policiers agressés, une hausse de 5,6 % par rapport à l’année précédente. Le citoyen a accusé le gouvernement de laisser le terrain aux extrêmes, soulignant que la peur et l’exaspération grandissent parmi la population.
“Comment voulez-vous que les Français se sentent en sécurité quand les policiers se cachent dans leurs commissariats ?”, a-t-il lancé, évoquant un sentiment d’abandon face à l’augmentation de la violence. Il a également critiqué la lenteur de la justice, avec un délai de traitement des affaires dépassant les neuf mois pour les mineurs, alors que la délinquance juvénile explose.
Ce cri d’alarme, porté par un citoyen engagé, soulève des questions cruciales sur la capacité du gouvernement à répondre à l’urgence sécuritaire. Les Français, face à une réalité insupportable, exigent des réponses et des actions concrètes. La situation est critique, et le temps presse pour que les autorités prennent enfin la mesure de l’ampleur du problème. La France est à un tournant, et l’appel à l’action ne saurait être ignoré.