**JP. TANGUY DÉTRUIT UN COMMUNISTE SUR L’IMMIGRATION : UN DÉBAT ENFLAMMÉ À L’ASSEMBLÉE**
Dans un échange explosif à l’Assemblée nationale, Jean-Philippe Tanguy, député du Rassemblement National, a mis en lumière les incohérences des arguments d’un porte-parole communiste sur l’immigration. “L’immigration n’est pas une chance pour la France”, a-t-il martelé, citant Bruno Rotaillot, ancien ministre de l’Intérieur. Ce débat, qui a rapidement pris une tournure passionnée, a révélé des divergences profondes sur la politique migratoire française.
Tanguy a dénoncé la suppression de l’aide au développement, affirmant que cela multiplierait par dix les flux migratoires. “Si nous ne soutenons pas ces pays, comment peuvent-ils se développer ?”, a-t-il questionné, soulignant que l’immigration est un fait social inéluctable. En revanche, le porte-parole communiste a plaidé pour une intégration des migrants, arguant que la France doit accueillir ceux qui fuient des conflits, comme les réfugiés ukrainiens.
La tension est montée lorsque Tanguy a accusé son adversaire de favoriser une “submersion” migratoire, en pointant du doigt la concentration des immigrés dans des zones de logements sociaux, ce qui, selon lui, nuit à l’assimilation. “Les immigrés ne sont pas intégrés, ils sont confinés”, a-t-il déclaré, provoquant des réactions vives dans l’hémicycle.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : depuis 2022, 140 000 réfugiés ukrainiens ont été accueillis, mais la question demeure : que fait-on de cette immigration ? Tanguy a réclamé un rétablissement des frontières et une politique migratoire stricte, tandis que son adversaire appelait au dialogue et à l’intégration. Ce débat, révélateur des fractures politiques en France, continue d’alimenter les discussions sur l’avenir de l’immigration dans le pays. La tension est palpable, et l’issue de ce conflit idéologique reste incertaine.