**CHARLOTTE DÉTRUIT SANDRINE SUR L’INTERDICTION DES FAITS DIVERS**

Dans un affrontement politique explosif, Charlotte Dornellas a violemment critiqué une proposition de loi déposée par des députés de gauche, visant à restreindre la couverture médiatique des faits divers. Ce projet, soutenu par des figures emblématiques telles que Sandrine Rousseau et François Ruffin, cherche à limiter ce qu’ils appellent la “surexposition médiatique” des faits divers, qu’ils jugent déformants pour la réalité de l’insécurité.

L’intervention de Dornellas a mis en lumière l’hypocrisie des parlementaires, qui reprochent au service public de ne pas contrer suffisamment les récits médiatiques qu’ils jugent biaisés, alors qu’ils participent eux-mêmes à la médiatisation de sujets similaires. Selon elle, cette initiative enfreindrait la neutralité des médias, un principe fondamental inscrit dans la loi française.

Dornellas a souligné que l’objectif de cette loi est de rétablir un “cadrage médiatique de gauche” et de censurer les médias de droite, tout en se présentant comme des défenseurs de la liberté de la presse. Elle a dénoncé une tentative de manipulation de l’information, où seuls certains faits seraient jugés dignes d’être rapportés, selon des critères idéologiques.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en 2023, France Télévision a reçu 2,5 milliards d’euros de fonds publics. Une loi qui imposerait une ligne éditoriale violerait les exigences de pluralisme et de neutralité, affirment les critiques. La polémique s’intensifie alors que la France fait face à des enjeux cruciaux liés à l’immigration et à la sécurité, des thèmes que ces députés semblent vouloir écarter du débat public.

Ce débat sur la liberté d’expression et la manipulation des faits divers est loin d’être terminé. Les citoyens sont appelés à se mobiliser pour défendre un journalisme libre et indépendant, essentiel à la démocratie. La bataille pour la vérité dans les médias n’a jamais été aussi urgente.