**Macron abandonne ArcelorMittal ! Il faut nationaliser !**

Dans une tournure alarmante des événements, le Premier ministre français se retrouve sous le feu des critiques alors qu’ArcelorMittal, géant de l’acier, menace de supprimer plus de 600 emplois en France. Les salariés, mobilisés aujourd’hui, expriment leur colère et leur détermination à défendre non seulement leurs emplois, mais aussi l’avenir de la production d’acier dans le pays. La situation est critique : sans action immédiate, ce sont plus de 60 000 emplois qui pourraient disparaître dans la filière.

Les travailleurs d’ArcelorMittal, présents en tribune, ne veulent plus de promesses vides. Ils exigent des actes concrets pour garantir la pérennité de la production d’acier en France. Alors que le groupe a versé 12 milliards d’euros aux actionnaires ces dernières années, il refuse d’investir dans la décarbonation de ses installations, une étape cruciale avant 2030. Le temps presse : la décarbonation doit être réalisée dans les quatre prochaines années, sinon c’est l’ensemble du secteur qui sera menacé.

Les critiques se dirigent vers le gouvernement, accusé d’attentisme et de manque de vision. “Si Mital veut partir, qu’il s’en aille”, clame un représentant des salariés, appelant à la nationalisation de l’entreprise pour préserver l’outil de production en France. Le Royaume-Uni, le Kazakhstan et l’Italie ont déjà pris des mesures similaires, laissant la France à la traîne.

Les mots de compassion de la ministre ne suffisent plus. Les salariés d’ArcelorMittal veulent des réponses claires et immédiates. La question est désormais posée : le gouvernement agira-t-il pour nationaliser ArcelorMittal et sauver l’industrie de l’acier en France, ou laissera-t-il le pays sombrer dans une crise économique majeure ? L’heure des décisions est arrivée.